Le terreau du compost ! Ozone, au rage aux des espoirs !

Bonne chance avec ta fouine.
Lorsque nous mettons un piège pour les Mustélidés, nous essayons de l'intégrer au maximum à l'environnement alentour, presque invisible.
Eventuellement, oeufs de cailles, de faisans ou de canard (suivant la saison), d'oiseaux faisant leur nids au sol, comme les poules.
La pâtée pour chat fonctionne assez bien. Malheureusement ce sont plus souvent les hérissons qui se font prendre.
Ce qui est bien, c'est que cette chasse est sélective et non destructrice.
Car entre un furet ou fouine qui peut être classé nuisible (suivant les départements) et un vison (qui est protégé), dans le feu de l'action, la différence n'est pas toujours aisée.

Pour la chasse au furet avec mon cousin.
Nous mettions des cages pour les attraper vivants. Pour la revente et/ou le repeuplement.
Nous avions des fusils, pour ceux qui passaient entre les mailles. Il faut bien manger.
Même comme cela, la plupart des "garennes" arrivaient à se faire la male.
Car beaucoup de sorties ne sont pas visibles.
Le furet avec sa clochette, fait un sacré bordel sous terre, ça grogne, ça siffle, ça gratte.
Les siennes (deux femelles, ça sent moins fort et sont moins teigneuses), pour les faires revenir, il agitait une petite boite de croquettes.
Sauf si l'une d'elle arrivait à chopper un lapin. Dommage.
Là, il faut-être très patient. Mais elle finissait par sortir.

Dans la montagne, là-bas, il ne faut pas partir sans eau.
Entre Alcoy, Cocentaina et Benilloba, il fait très chaud. Personne.
Seule la nature sauvage. Même pas un randonneur. Trop dur. Pas d'eau.
Aucun abris. Tout est sec. C'est beau, c'est calme.
Et là, tu comprend à quoi peut servir un parapluie quand il ne pleut pas.
Si tu te pète une patte sur un cailloux, tu rentres de plein pied en mode survie.
C'est là-dedans que nos écolos-bobos-véganes des villes devraient être lâchés.
Et ils comprendrons qu'ils n'ont rien de naturel.

xavlemar a écrit:Chères Ulysse et JC69.

Elle avait une sacrée balafre sur la carapace (la tortue, pas ma femme).
Depuis, tout s'est bien réparer et elle a bien grossi.


et là je suppose que tu parles toujours de ta tortue ?  


Oui, c'est la tortue qui à bien grossie.
Mais mon épouse et moi-même, aussi.

xavlemar a écrit:

Eventuellement, oeufs de cailles, de faisans ou de canard 

Oeufs de Canard à virus. 

Depuis, je bois beaucoup plus de Corona.

l'oeuf de canard c'est comme le lait de taureau...ça rend gay 

xavlemar a écrit:

Dans la montagne, là-bas, il ne faut pas partir sans eau.
Entre Alcoy, Cocentaina et Benilloba, il fait très chaud. Personne.
Seule la nature sauvage. Même pas un randonneur. Trop dur. Pas d'eau.
Aucun abris. Tout est sec. C'est beau, c'est calme.
Et là, tu comprend à quoi peut servir un parapluie quand il ne pleut pas.
Si tu te pète une patte sur un cailloux, tu rentres de plein pied en mode survie.
C'est là-dedans que nos écolos-bobos-véganes des villes devraient être lâchés.
Et ils comprendrons qu'ils n'ont rien de naturel.

J'ai déjà eu cette impression parfois dans ma vie , la dernière fois c'était en Crète , il y a une quinzaine d'années j'étais parti seul pendant dix jours fin septembre … l'envie de couper un peu le quotidien loin de tout, ca fait du bien et ca aide à éclaircir l'esprit sur certaines priorités qui paraissent finalement futiles au retour .  J'avais loué un trail à mon arrivée et je n'avais comme bagage que ma brosse à dent et un calebar à retourner un jour sur deux , je dormais là ou le vent me menait , hotel ou chez l'habitant … évidement à l'époque pas de gps , pas de casque ( en crête pas besoin à l'époque)  et un téléphone portable qui n'avait pas de réseau un coup sur deux…
Loin des sites touristiques j'avais entrepris de visiter l'ile plutôt coté montagne et bien souvent j'empruntais des petits sentiers qui me menaient au hasard de mes errances , si bien qu'un jour il a bien fallu que je me retrouve au milieu de nulle part  , paumé en pleine montagne  et avec le réservoir quasi vide …. là tu te dis que si en plus tu te prends une gamelle et que tu te casses un truc ben le temps qu'on te retrouve t'as le temps d'ètre changé en momie  … pendant une heure ou deux je n'en menais pas large et plus d'une fois je me suis traité de crétin  ... et finalement je suis arrivé à regagner un chemin un peu plus large ou il y avait des crottes de moutons , si crotte de mouton il y a surement le berger qui va avec , de fil en aiguille le chemin s'est élargi et a donné naissance à une petite route goudronnée et à un " hameau " avec trois vieux aussi vieux que la montagnes qui te regardent comme un martien qui parle une langue de martien … va leur expliquer que tu cherches de l'essence ! finalement Trois km plus loin je suis tombé en rade et trois heures plus tard un vieux pick up est passé , il a vu que j'etais en rade d'essence et malgré  cela le mec semblait impassible il n'a même pas pris la peine de s'arrêter , il m'a fait signe d'un doigt levé sur le volant et est repartit … bordel il m'a laissé là … bien 20 mn après le mec est repassé avec un bidon d'essence et m'a remis quelques litres dans le réservoir aussi impassible… j'ai voulu le payer et le mec toujours aussi impassible m'a refait le même signe et est repartit comme il était venu sans jamais entendre le son de sa voix   je n'ai jamais su d'où il venait d'ailleurs car sur le retour je n'ai vu aucune maison  … les jours d'après j'ai exploré l'ile sur des petites routes…. goudronnées
Malgré cette mésaventure ca reste l'un de mes plus beau trip à moto … mais ca m'a apprit que quand tu nages seul , mieux vaut nager où tu as pied  

Beau baroud.
Il y a des endroit, où, le trail est le meilleur véhicule.
Il y a fort longtemps, je faisait ce genre de trucs, dans la montagne, dans la région de Valencia.
A l'époque, en 1000GTR.
Je prenais des petites routes au hasard, et quand la route ne figurais pas sur la carte, encore mieux.
De ce fait, je me suis retrouvé, assez souvent, dans des situations périlleuse, sur des chemins de montagne.
Une fois, en août, j'était parti, car le temps étant couvert sur la plage, il ferais moins chaud là-haut.
Encore une fois, petit chemin. Et pour une fois, un orage de dingue avait éclaté.
En partant d'en bas, il faisait 35°, dans l'orage, en haut, j'était gelé, congelé.
Même avec mon petit blouson d'été, je tremblais.
Je m'étais réfugié dans une petite ruine et en attendant la fin de cet orage, je mangeais des mûres qui poussaient.
Quand j'étais redescendu, mon oncle n'a jamais voulu me croire (Et pourquoi pas de la neige tant que j'y était !).


Maintenant, ce genres de conneries, je les fait en 4X4.